L’ouverture à la concurrence pour les énergies, initiée il y a une quinzaine d’années, a laissé miroiter des économies substantielles aux consommateurs. La réalité est aujourd’hui un peu différente, et les évolutions des prix peuvent pousser à mutualiser les achats d’énergie au sein d’une copropriété.
Quinze ans plus tard, entre Covid, situations géopolitiques instables, guerre en Ukraine, pressions écologistes diverses mais aussi démarches politiques parfois peu compréhensibles au niveau de la France et de l’Europe, ces économies se sont transformées en augmentations généralisées et parfois violentes. Ces augmentations brutales ont mis en péril des entreprises, mais aussi des particuliers, pour la plupart dépendants de l’électricité et du gaz. Le citoyen lambda peut comprendre l’envolée des prix du gaz, majoritairement importé, il comprend moins les dérives des prix de l’électricité, une énergie produite en France dans sa quasi-totalité. Dans les faits, si les propriétaires de maisons individuelles cherchent à s’orienter vers des alternatives diverses, c’est beaucoup plus complexe en copropriété, la voie la plus simple à court terme étant de tenter de contenir les prix. La mutualisation des achats est une solution, mais pas la seule.
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