Le chauffage au fioul a un fort impact sur les émissions de gaz à effet de serre et sur la qualité de l’air par ses émissions de polluants locaux (particules fines, dioxyde d’azote) avec des conséquences directes sur la santé. Il semblerait que son abandon soit annoncé et programmé.
Depuis 2014, la Maire de Paris Anne Hidalgo a fait de la lutte pour l’amélioration de la qualité de l’air et pour la protection de l’environnement un enjeu majeur de sa mandature. Engagée dans un Plan climat air énergie et dans un Plan de santé environnementale, la ville de Paris s’est fixé un objectif ambitieux : devenir un territoire neutre en carbone et 100 % converti aux énergies renouvelables d’ici 2050. Pour se faire, la Ville souhaite rénover 1 million de logements d’ici 2050, réduire la consommation d’énergie sur le logement d’un tiers d’ici 2030 et de moitié d’ici 2050, et atteindre l’objectif 0 chauffage au fioul à Paris d’ici 2030. Réduire ces émissions nocives permet de prévenir les maladies graves telles que les maladies respiratoires et cardiovasculaires provoquées par la pollution de l’air, première cause de décès liés à l’environnement.
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