Pourquoi faire simple… quand on peut faire compliqué ? La vie des copropriétés semble parfois s’engager dans une spirale schizophrène, entre normes, diagnostics multiples, interdiction de location d’appartements parfois abusivement qualifiés de « passoires thermiques ». Pourtant, des pistes restent possibles.
Le contexte géopolitique international ne va pas dans le sens de la stabilité, bien au contraire. Le gaz, les produits dérivés du pétrole, l’électricité, ont connu et connaissent encore des inflations tarifaires que l’on imaginait impossibles il y a encore peu d’années. Il n’existe plus aujourd’hui de solutions de chauffage économiques, mais seulement des solutions qui permettent de contenir en partie l’envolée des prix des différentes énergies. Face à ces accumulations de contraintes, certains copropriétaires bailleurs baissent les bras… et revendent leurs biens. D’autres, le plus souvent les propriétaires occupants, cherchent par tous les moyens à réduire les coûts liés au chauffage et à l’eau chaude sanitaire. L’isolation du bâti est prioritaire, mais les équipements techniques ont également un rôle très important, dans les recherches d’économies de fonctionnement. De ce fait, les copropriétés recherchent aussi des solutions visant à réduire les coûts de chauffage. Les voies possibles sont multiples, depuis l’optimisation de l’installation existante jusqu’au changement d’énergie, en passant par le remplacement de la ou des chaudières, sans oublier les installations liées à l’eau chaude sanitaire, qui peuvent aussi représenter à terme des sources importantes d’économies.
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