Le prix de l’électricité ne cessant de flamber, il est capital de mieux maîtriser les coûts d’éclairage dans les parties communes. Le changement des ampoules fluorescentes par des LEDs et le choix de luminaires avec détecteurs sont les premières solutions pour générer des économies.
En plus de conjuguer efficacité et sécurité, l’éclairage des parties communes des copropriétés doit être le plus économique possible. Inclus dans les charges fixes à partager entre les copropriétaires, le coût de l’éclairage peut représenter près de 30 % de la facture énergétique globale selon l’ARC (Association des responsables de copropriétés), plutôt moins selon les présidents de conseils syndicaux que nous avons interrogés. Mais à une époque où le prix de l’électricité ne cesse de grimper, ce pourcentage, même faible, n’est pas anecdotique et les précautions les plus élémentaires ne suffisent plus à endiguer la hausse des charges et à répondre aux nouvelles exigences de politique environnementale actuelle. En pratiquant un simple « relamping » dans les parties communes des immeubles (halls d’entrée, couloirs, escaliers, parkings, extérieurs…), c’est-à-dire en remplaçant toutes les ampoules obsolètes par des LEDs (dont la nouvelle étiquette énergie est entrée en vigueur le 1er septembre 2021 (1)), il est possible d’économiser et d’effectuer un premier geste écologique. Le développement des nouvelles technologies, comme les systèmes de détection, la temporisation de l’éclairage et une gestion intelligente des luminaires permettent également de répondre à cette problématique.
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